Le problème du mal se pose le plus souvent avant toute affirmation de la foi en Dieu. L'existence du mal est évidente. Pas celle de Dieu !
Devant la mort, devant la haine, devant l'échec, comment ne pas s'écrier : cela ne devrait pas être ?
Et ce cri ouvre le coeur... Et ce cri fait rechercher Celui qui pourrait donner le bonheur.
Si le mal "ouvre" le coeur, il faut renoncer au fatalisme (qui dit : c'est comme cela et cela sera toujours comme cela), à l'orgueil (qui dit : je serai plus fort que le mal) pour accueillir humblement la réponse de Dieu : "je viens à ta rencontre, n'aie pas peur".
Comment Dieu profère-t-il cette réponse ? souvent en permettant de faire l'expérience de l'amitié et de l'amour qui nous font dire, à celui qui souffre, en son nom, "Je viens à ta rencontre, n'aie pas peur".
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire